Je raconte ma vie. Youpi.

Un petit coucou en ce lundi soir un peu brumeux, mais j'aime a vous parler, et a plus forte raison a m'exprimer dans le vent. Certes, si je vous communiquais mon abomination d'adresse vampirique lorsque je vous vois dans mon sublime bahut, j'aurais plus de visites.

Mais bon, merde, j'écris pas pour me faire lire, mais pour me faire PLAISIR. Alors silence.

Ce soir, je me flingue.

Je plaisante, bien sur. J'ai fait des choses médiocres, mais tout de même, j'ai un peu de dignité humaine, alors légalisons la peine de mort, comme ça je saurais a qui m'en prendre, au lieu de maudire l'autre blonde tous les soirs a 20 heures parce qu'elle a remplacé PPDA, tout ça parce qu'elle a plus de seins. Ho, mais quoi a la fin? Je décharge ma rage sur ce que je trouve, et je préfère que ce soit sur Barbie que sur vous.

En plus, j'aimais sincèrement PPDA.

Mais je m'égare. Je cesse de parler de mes attirances coupables pour les quinquagénaires télévisés, et je vous parle a présent de ma haine viscérale pour les blondes barbies, de tous poils (bien que longs généralement) et de toutes races (et vu la lueur d'intelligence qui ne brille pas dans leurs yeux, on hésite vaguement entre l'huître et l'épagneul breton).

Une Barbie sympathique est une Barbie morte.

Mais je ne vais pas me monter le bourrichon pour un groupe de pâtés a la serpillières suroxygénées et au QI plus proche de leur température anale que de la moyenne mondiale.

Un suicide peut-être envisagé a partir d'une vision de Barbie, encore plus sûrement qu'a partir d'une lecture de l'Equipe, et pourtant Dieu, Satan, Bouddha, Zeus et toute la clique savent bien que le score du PSG est de plus en plus minable de saisons en saisons.

La seule alternative est peut-être de se suicider tristement a partir d'une cure de plans pour sauver l'écologie mondiale, et de se flageller au sujet des accords de Kyoto.

Mais je m'en fous, j'veux pas mourir, et j'me soigne. La preuve, je bois de l'alcool.

Mais, me direz-vous, l'alcool tue lentement! Et a cet argument imparable, il ne me reste plus qu'a répondre que "ça tombe bien, j'suis pas pressée".